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    “I have missed more than 9,000 shots in my career. I have lost almost 300 games. On 26 occasions I have been entrusted to take the game winning shot... and I missed. I have failed over and over and over again in my life. And that's precisely why I succeed.”

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    -- Michael Jordan


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    Lors de la saison 1985-86, Chicago en était seulement à son troisième match de saison régulière que Jordan se blessa gravement au pied gauche (facture du naviculaire tarsien)

    Présent sur la liste des blessés durant 64 matchs, il partit faire sa rééducation chez lui en Caroline du Nord. Là-bas, à l’insu du staff médical des Bulls, il enchaina quelques matchs avec des amis. Lors de son retour à Chicago, les médecins furent stupéfaits par sa condition physique. Les muscles de sa jambe gauche étaient même devenus plus fort que ceux de sa jambe droite. Malgré cela, les dirigeants de Bulls refusèrent qu’il fasse son retour sur les terrains avant la saison suivante.

    Jordan demanda alors un rendez-vous avec les médecins et l’administration de Chicago.  Les médecins lui expliquèrent qu’il avait 10% de chance de se blesser à nouveau ce à quoi MJ objecta : « Mais il y a tout de même 90% de chance qu’il ne m’arrive rien, non ? » Le propriétaire des Bulls, Jerry Reinsdorf, exposa alors cette théorie à Jordan : « Disons que tu as mal à la tête et que ta boite d’aspirine contient 10 cachets, mais qu’un de ces cachets contient du cyanure, serais-tu prêt à miser sur les 90% de chance de tomber sur la bonne pilule ? » Inflexible, Jordan répliquat : « C’est un bon exemple. Mais je n’ai pas mal à la tête ! »

    2 jours plus tard, le 21 mars 1986, MJ retrouvait le chemin des parquets face aux Boston Celtics. Il ne connaitra plus aucune blessure grave durant le reste de sa carrière.

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    Si cette année, le All-Star Game se joue au tout nouveau et flambant Hoosier Dome devant 67590 spectateurs, le Slam-Dunk Contest se déroule dans la salle plus modeste du Marquet Square Arena, l’antre des Pacers. Et le vrai vainqueur du Slam-Dunk, malgré le titre acquis par Dominique Wilkins, n’est autre que le local du contest : le jeune Terence Stansbury qui viendra quelques années plus tard en France faire les beaux jours de Levallois. 

    Face aux joueurs de renom alignés pour ce second défi de l’histoire de la ligue, le rookie sans nom alimente la manifestation d’un 360° d’une puretée encore jamais entrevue jusque-là. Devant ce joyau lunaire, la légende dit même que la statue de la liberté a semblé défaillir devant ce porté de balle d’une limpidité et d’une stature hors du commun. Mais l’inconnu du dunk-contest ne pouvait se permettre de battre le futur de la ligue, un certain spationaute des parquets dénommé Michael Jordan. Jordan se qualifiera donc au rabais face à Stansbury. Et, en finale, subira la loi de « The Human Highlight Film ». Le tenant du titre, Larry Nance, n’arrivera que cinquième. Dr. J le devancera d’une place seulement. 

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    MJ a retrouvé le chemin des terrains avec les Washington Wizards dans un effectif qu'il a pratiquement créé lui-même puisque quelques semaines auparavant il occupait encore le poste de President of Basketball Operations pour l'équipe de la capitale. 

    Nombre de spécialistes lui reconnaissent toujours d'énormes qualités mais pas au point de passer les cartons que la plupart ont connu lors de ses belles années avec Chicago. 

    Pourtant, le 29 décembre 2001, à deux jours de fêtes de fin d'année, il réalise l'incroyable exploit de marquer 51 points au nez et à la barbe des Charlotte Hornets. Il complète sa feuille de match de 7 rebonds, 4 passes et 3 interceptions. Avec ou sans le maillot des Bulls sur les épaules, MJ is still MJ !

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    Jordan prend la décision de quitter l’université en 1984, un an avant la fin de son cycle d’études, avec des stats déjà impressionnantes : 20 points de moyenne pour sa deuxième saison, 19,6 pour la suivante. Après les Jeux Olympiques de 1984, MJ se présente à la draft et trouve preneur en troisième position derrière Hakeem Olajuwon (Houston) et Sam Bowie (Portland).

    Jamais une draft n’aura fait couler autant d’encre. Outre le fait que la cuvée 1984 est jugée exceptionnelle (Charles Barkley, John Stockton, Sam Perkins, Alvin Robertson, Otis Thorpe, Kevin Willis, Vern Flemming, Michael Cage… mais aussi Michael Young et Terence Stansbury qui marqueront l’histoire du basket français), pas mal de questions se posent au soir du 19 juin 1984 dans le Felt Forum de New York.

    Et si MJ avait été drafté à l'une des deux premières places ? Sam Bowie va-t-il confirmer les espoirs qu’on porte en lui ? Pourquoi John Stockton n’a-t-il été drafté qu’à la 16ème position ? Une seule question trouvera rapidement réponse : « MJ a-t-il bien fait de se présenter à la draft ? ». La réponse est oui. L’histoire est en marche.

    Retournez dans le passé en revivant le direct live de cette Draft 1984 (original broadcast) :     > download