• 2009 Hall of Fame induction ceremonyAujourd'hui, le nom de Michael Jordan noircit le livre des records NBA. L'image du « jumpman » a fait le tour du monde. Les plus beaux et les plus grands exploits sont le fait de Michael Jordan. Ils appartiennent à sa légende. « MJ » a, sinon vulgarisé, du moins popularisé le basket sur les cinq continents grâce à son histoire, son talent et son charisme hors du commun. Le personnage était rare, le joueur unique. Son introduction au sein du Hall of Fame était donc devenu inéluctable. Cela sera chose fait le 11 septembre 2009. 3 autres joueurs et un coach (David Robinson, John Stockton, Jerry Sloan, C. Vivian Stringe) seront consacrés lors de la même célébration. Jordan sera le dernier à faire son entrée dans le temple de la rénommée. Extrêmement touché par les différens hommages adressés depuis le début du week-end, il finira par verser quelques larmes. Un moment unique et émouvant.

    Revivez la cérémonie dans son intégralité (original broadcast) :     > part 1     > part 2


  • Michael Jordan Steakhouse grand opening

    Nous vous annoncions début septembre l'ouverture du "Michael Jordan's Steak House", le nouveau restaurant de MJ dans le centre de Chicago. L'inauguration de l'établissement a eu lieu jeudi dernier, 22 septembre, en présence de nombreux invités venus tout autant découvrir les lieux que tenter d'approcher la légende des parquets. Michael Jordan était en effet présent. Il en a profité pour prendre le micro et remercier toutes celles et ceux qui ont permis la réussite de ce projet. Sa présence à cette soirée prouve une fois encore que l'ancien arrière des Chicago Bulls n'est pas un businessman comme les autres. MJ n'est pas seulement un investisseur. C'est un avant tout un épucurien qui réutilise les bonnes vieilles recettes qui ont fait son succès dans le sport, en particulier une très forte implication personnelle, pour tenter de briller dans les affaires.


  • Seattle Supersonics vs. Chicago Bulls - 9 juin 96 - NBA Finals Game 3

    Les Bulls de Chicago mènent 2 à rien dans ces finales. Pour le troisième match de la série, le premier à domicile pour Seattle, les observateurs s'attendent à une réaction d'orgueil de la part de George Karl et de ses joueurs. C'est pourtant pour tout l'inverse qui va se produire.

    Après deux rencontre à Chicago, les Sonics accueillent leurs adversaires dans la Key Arena. Seattle sait pouvoir compter sur l'appui de son public. La rencontre s'annonce délicate pour l'équipe de Phil Jackson, mais c'est sans compter sur Michael Jordan qui adore ce genre de rencontre improbable. Dès le premier quart-temps, le collectif de Chicago parle et offre 18 longueurs d'avance aux Bulls. L'attaque en triangle, que Tex Winter a inventé en 1962, semble marché à merveille face aux Sonics. Dans le quart-temps suivant, Seattle corrige le tir et revient à -11. C'est ce moment que choisi MJ pour prendre le match en main. En quelques minutes, le numéro 23 des Bulls va scorer 15 points d'affilée pemettant à son équipe de rejoindre les vestiaires avec 24 points d'avance. La seconde période est une torture pour Seattle. Avec un Perkins totalement absent, un Payton trop tendre, et un Brikowski à nouveau expulsé (2 fois en 3 matchs, record des finales), la débacle est totale pour les Sonics. En face, Jordan poursuit son festival bien aidé par un Luc Longley des grands jours (19 pts, record en playoffs). Le collectif des Bulls fait le reste.

    Avec 14 victoires en 15 matchs de playoffs, Chicago établit un nouveau record, dans la lignée de leurs 72 victoires de la saison régulière. Les Sonics, pour leur part, sont Knock Out. Il est peu probable que Kemp et compagnie parviennent à se relever de ces trois défaites consécutives. Les Bulls sont à deux doigts de redevenir champions, et cette fois toutes catégories !

    Revivez la rencontre dans son intégralité (french broadcast) :     > part 1     > part 2


  • Air Jordan 1 Retro High

    La Air Jordan I est de retour avec six nouveaux coloris qui vont du bleu ciel au bleu marine en passant par le rouge, le vert et le jaune dit "maïs". Cette assortiment ne présente aucune différence notable dans sa conception avec le modèle original de 1984. C'est également vrai d'un point de vue confort. On est encore loin de ce qui se fait aujourd'hui en terme d'amorti et de légèreté. Ne vous attendez pas à pouvoir les chausser sur les terrains, ce n'est tout simplement plus sa vocation. La Air Jordan I est dorénavant un accessoire de mode qu'il convient seulement de porter avec un jean, ou un bermuda pour les plus téméraires d'entre vous. Les six coloris sont disponibles depuis le mois d'août pour un peu plus de 100 €.


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    “I'm just so glad Chicago drafted me eight years ago. If they didn't, I don't think I could do what I did, being a back-to-back championships. This is a great town to play for.”
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    -- Michael Jordan






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