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    In a sense, Jordan was the ultimate aggregator-he took the best of everyone who came before and rolled it up into a ready-for-prime-time package.”
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    -- SLAM magazine


  • NBA 2K12 - His Airness is back...and this time is brought Friends

    "Son Airness est de retour...et cette fois il a emmené avec lui quelques amis". C'est ainsi que ce termine le premier trailer du jeu NBA 2K12. En 2011, 2K Sports avait fait la part belle à l'ancien joueur des Chicago Bulls avec le succès que l'on connait. Le gameplay et le réalisme avaient été tout simplement hallucinants sans parler des modes de jeu dont en particulier celui permettant de revivre les plus grands exploits de la carrière du numéro 23 des Chicago Bulls.

    NBA 2K11 a probablement été l'un des meilleurs jeux de sport jamais réalisé. Il semblait difficile de faire mieux. Pourtant, 2K Sports semble vouloir nous proposer cette année un jeu encore meilleur. Certaines améliorations, notamment côté graphisme, sont attendues mais là où la firme américaine a fait fort, c'est qu'elle aura cette année non pas un mais trois ambassadeurs. Michael Jordan partagera en effet l'exclusivité de la jacquette avec Magic Johnson et Larry Bird. Certes, les trailers sont toujours un peu édulcorés mais une attention toute particulière semble avoir été portée au style de jeu et aux mimiques des deux anciens franchises players des Lakers et des Celtics. D'autres superstars sont attendues, notamment Kareem Abdul-Jabbar ou Julius Erving pour ne citer qu'eux. Le lock out NBA est parti pour durer. NBA 2K12 tombe à point nommé pour occuper vos longues soirée d'hiver. Le jeu confirme aussi le retour en grâce du basket old school. Ce n'est pas -Keep flying with Him- qui s'en plaindra.


  • ActualitésQuantité : 1
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    La prose sur Jordan est abondante. Pas mal de journalistes ont profité du filon en faisant son apologie. "Hang Time" est un livre de 406 pages sorti en 1992 et écrit par Bob Green. Pendant deux saisons (1990-91 et 1991-92), Jordan s'est confié à ce journaliste vedette du Chicago Tribune. A travers différents témoignages, il revient sur sa célébrité, ses oeuvres de charité, son travail de mentôr... Autant de sujets qui lui tiennent à coeur et qui permettent d'évacuer la pression médiatique, véritable fardeau quotidien même pour le plus grand joueur de la league. Une grande leçon d'humanité.

    Pour plus de renseignements, me contacter à : francois_regis_noel@yahoo.com


  • Actualités

    Le statut de superstar ne protège pas des grands moments de solitude. C'est ce que Michael Jordan a vécu en 1990 lors de sa participation au three-point shootout du All-Star Game de Miami.

    Jordan, bien qu'enthousiaste à l'idée d'affronter les meilleurs artilleurs de la league, avait en réalité peu de chance de briller dans cette compétition. Il ne tourne en effet qu'à 36% à trois points cette saison. Top peu, d'autant qu'il a face à lui sept des meilleurs shooteurs de la ligue (Reggie Miller, Mark Price, Bobby Hansen, Greg Elho, Larry Bird, Graid Hodges et Jon Sundvold). Comme si cela ne suffisait pas, Jordan va se retrouver opposé au premier tour à l'un des meilleurs spécialistes en la matière, Graig Hodges, par ailleurs son coéquipier chez les Bulls. His Airness va vite regretter de s'être inscrit dans ce concours ratant shoot après shoot. La situation en est presque gênante pour le meilleur marqueur de la ligue qui aurait dans doute mieux fait de décliner l'invitation à se joindre à ces tireurs d'élite. On ne sait d'ailleurs pas grand chose de ses motivations. La NBA l'a-t-elle poussé à s'incrire? A-t-il été convié pour pallier une absence de dernière minute? Peu importe, l'idée n'était en tout pas excellente et on en est presque gêné pour lui. Au coup de buzzer, MJ n'a en tout et pour tout marqué que 5 points sur les 30 possibles. De son côté, Hodges s'en tire avec 20 points et se qualifie pour le tour suivant. En finale, Hodges vient à bout de Reggie Miller (19 à 17). Il décroche ainsi le premier de ses trois trophées de meilleurs shooteurs de la ligue.

    Bien qu'embarrasante, cette épreuve aura finalement le mérite de donner un côté plus humain au numéro 23 des Bulls. Depuis son année rookie, il semble en effet évoluer sur une autre planète. Jordan aurait probablement mieux fait de s'abstenir de participer au concours mais, en raison de ses immenenses capacités dans d'autres secteurs du jeu, personne n'osera revenir sur sa piètre performance ce soir là.

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  • Los Angeles Lakers vs. Chicago Bulls - 9 juin 1991 - Finals Game 4

    Chicago mène 2 à 1 dans les premières Finals de l'ère Jordan. A l'entame du quatrième match, la pression est encore montée d'un cran. Jordan sait qu'il pourra la supporter. Mais les autres ? Comment Scottie Pippen contiendra-t-il James Worthy ? Bill Cartwright tiendra-t-il tête à Vlade Divac ? Horace Grant parviendra-t-il à museler Sam Perkins ? Une seule certitude : c'est Michael qui s'occupera personnellement de Magic Johnson après que Pippen ait fait un excellent travail défensif sur le leader des Lakers lors des matchs 2 et 3.

    Le match démarre sur les chapeaux de roue pour les Bulls. L'équipe de Phil Jackson joue comme sur un nuage. A la mi-temps, les Lakers semblent ne pas encore être rentré dans leur match. Inefficaces en attaque et incapables de contenir les assauts offensifs de leurs adversaires, Los Angeles passe à côté du troisième quart-temps. De leur côté, Jordan et les siens enchainent panier sur panier pour compter jusqu'à 16 points d'avance. Malgré un dernier sursaut d'orgueil dans le quatrième quart – les Lakers reviennent à -7 -, les Bulls ne sont pas inquiétés le moins du monde et repartent de ce game 4 avec une nouvelle victoire en poche, la troisième de ces Finals. Ce 9 juin 1991, Michael Jordan n'est plus qu'à une victoire du titre le plus convoité du basket mondial. Dans trois jours, il aura la possibilité de devenir champion NBA pour la première fois. Mais l'heure n'est pas encore à la fête. Chicago n'a pas l'intention de commettre cette erreur de jeunesse.

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