Je ne résiste pas au plaisir de partager avec vous cette très rare et exclusive vidéo d’un Michael Jordan invité sur le plateau d’un TV show américain dont j’ignore le nom il faut bien l’avouer.

Le jeune Jordan, 23 ans, est déjà l’une des principales attractions de la league. Libéré de ses obligations professionnelles par Boston qui vient d’éliminer Chicago en playoffs, Jordan profite de son temps libre pour se construire une image et représenter les déjà très nombreuses marques qui ont misé sur son talent.

Jordan est affublé un très seyant survêtement rouge et répond à diverses questions portant sur son équipementier, sa blessure qui l’a tenu éloigné une bonne partie de la saison, ses sponsors…

Le ton est détendu et un brin provocateur. A ne pas louper :          > download

C'est officiel, l'édition 2010 du Quai 54 se déroulera sur l'esplanade du Palais Omnisport de Paris Bercy.

Les précédents emplacements n'étaient en effet plus en mesure d'accueillir la plus grande compétition street d'Europe. Implanté jusqu'à présent Porte de Charenton, le tournoi s'est déplacé il y a deux ans vers le stade Georges-Carpentier pour offrir une capacité plus importante en spectacteurs et surtout pour résoudre les problèmes de nuisances sonores qui faisaient visiblement souffrir les riverains le temps d'un week-end. Georges-Carpentier, qui nous avait offert une superbe épreuve en 2009, est malheurseusement en travaux depuis 5 mois.

Trouver un nouvel espace n'était pas chose simple, mais la direction du tournoi semble avoir jeter son dévolu sur l'esplanade du POPB afin de rester sur ses terres d'origine du 12ème arrondissement de Paris.

A l'heure qu'il est, nous n'avons toujours aucune information fiable quant à la poursuite du partenariat avec Jordan Brand. Espérons que la marque au jumpman soit toujours de la partie.

Dans son 100ème numéro, SLAM revenait sur l'épopée qui a fait sa renommée insistant pour rappeler que sans MJ, le magazine n'aurait sans doute jamais existé ou perduré. Plus que tout autre, l'histoire de SLAM est liée à la carrière du plus grand joueur de tous les temps. 

Aussi, dès qu'un évènement majeur intervient dans la vie de His Airness, le célèbre magazine US ne se prive pas d'en faire sa couverture. C'est encore vrai avec le numéro 139 de juillet 2010 dans lequel SLAM revient sur l'arrivée de Jordan à la direction des Bobcats. 

Je vais tenter de m'en procurer un exemplaire et reviendrai plus en détail sur son contenu dans les prochaines semaines.

Si le All-Star Game 2003 d'Atlanta est le second de Michael Jordan sous les couleurs de Washington, c'est aussi et surtout le 14ème et dernier week-end des étoiles auquel il participe. Pour lui rendre hommage, la NBA lui consacre l'intégralité de la mi-temps avec un hommage rendu par une Maria Carey dont on ne sait plus si c'est la nature qui l'a ainsi gâtée de pouvoir remplir aussi merveilleusemente la robe n°23 qu'elle porte pour l'occasion.

Plus sérieusement, l'hommage est sincère et émouvant. Ca méritait bien un petit retour en vidéo :          > download

Lorsque Chicago reçoit les légendaires Boston Celtics pour le troisième match de la saison régulière, une petite odeur de passage de témoin plane inexorablement sur le Chicago Stadium.

Coachés depuis 2 saisons par Phil Jackson, les Bulls ne cachent plus leur ambition de devenir l'une des toutes meilleurs équipes de la league. L'effectif s'est construit progressivement et intelligemment au point de parvenir à enrôler successivement Michael Jordan, Scottie Pippen, Horace Grant et BJ Armstrong. 

En face, les Celtics voient progressivement s'éloigner leur décennie de succès. Dennis Johson a fait jouer son droit à la retraite. Quant à Larry Bird et  Robert Parish, ils affichent respectivement 34 et 37 ans ce qui oblige Chris Ford à devoir régulièrement alléger leur temps de jeu au profit de jeunes joueurs dont l'althétique Dee Brown ou le très regretté Reggie Lewis (qui nous quittera 2 ans plus tard tristement frappé par un arrêt cardiaque). 

Si Chicago doit finalement laisser filer la victoire sur un buzzer beater de Brian Shaw à la dernière seconde du match, la jeune et ambitieuse équipe de feu Al Capone n'aura pas démérité. 

Fait totalement inhabituel, seulement 2 paniers à trois points seront tentés au cours de cette rencontre : 0 sur 2 pour les Bulls et 0 sur 0 pour les Celtics. Quand on a sur le terrain des joueurs comme Larry Bird, John Paxon ou Graig Hodges, cela ne peut être qu'un oubli de joueurs pris dans le feu de l'action. Je ne vois pas d'autres explications. 

Revivez l'intégralité de la rencontre (original broadcast) :          > part 1     > part 2