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    Les Bulls sont Champions NBA pour la seconde année consécutive et ils ne comptent pas en rester là. Avec un bilan de 57 victoires pour 25 défaites en fin de saison régulière, Chicago a dores et déjà mis toutes les chances de son côté pour obtenir l'avantage du terrain.

    Au premier tour des playoffs, Windy City a "sweepé" Atlanta sur un écart moyen de 13 points. Autant dire que leurs futurs adversaires sont prévenus, à commencer par les Cavs.

    L'avertissement n'a semble-t-il pas été entendu, puisque Cleveland subit la loi de Chicago lors des deux premières rencontres de ces demi-finales de conférence (91-84 et 104-85). Les Cavaliers se doivent de relever la tête d'autant qu'ils présentent l'un des effectifs les plus cohérent de toute la league (Mark Price, Greg Ehlo, Larry Nance, Brad Daugherty et Gerald Wilkins pour le seul cinq majeur).

    Cleveland va malheureusement être victime du syndrôme "jamais 2 sans 3". Ce match n'est que la suite logique des deux précédents. En l'emportant 96 à 90, Chicago mène dorénavant 3 à 0.

    Sur un shoot à la dernière seconde lors du game 4, Jordan va réaliser un nouvel exploit synonyme de qualification. En cette soirée du 15 mai 1993, il ne sait pas encore que deux jours plus tard il va à nouveau écrire l'histoire.

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    Kobe Bryant a-t-il voulu remporter ce match ou simplement marquer les esprits en célébrant à sa manière le passage de témoin avec son mentor lors de leur toute dernière confrontation officielle? Un peu des deux sans doute. Mais une chose est sûr : Kobe Bryant a établi une performance digne de MJ. Se présentant en successeur de Jordan, il a réalisé une performance dont les seules statistiques évoquent les chiffres que His Airnes avait l'habitude d'afficher tout au long de sa carrière.

    Sur une seule rencontre, il a cumulé des records sans doute pour montrer au monde entier qu'il faudrait à présent compter sur lui : 19 points dans le premier quart temps, 42 points à la mi-temps (à 8/11 à trois points) et 55 points à la fin de la rencontre. Le numéro 8 des Lakers se permet même de scorer 23 points d'affilée. Des chiffres de ce type ne vous rappellent-ils pas quelqu'un ? Un certain numéro 23 en avait fait sa marque de fabrique tout au long des années 90.

    Jordan, que l'esprit de compétition n'a pas quitté, offre une prestation tout à fait honorable : 23 points à 50% de réussite, assortis de 4 rebonds et 1 interception. Mais en cette saison 2002-03, l'ancien franchise player des Bulls est définitivement trop seul pour emmener sa nouvelle écurie vers les playoffs.

    Cette rencontre est riche en anecdotes. Elle marque indéniablement le passage de témoin entre un certain numéro 23 et le jeune numéro 8. A la veille de l'été 1991, MJ remporte son tout premier titre face à Los Angeles. 10 ans plus tard, c'est dans cette même ville que se déroule la passation de pouvoir entre deux des plus grands joueurs de leur génération.

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    Magic face à Jordan c'est l'affiche de ces Finals 1991 entre les Bulls de Chicago et les Lakers de Los Angeles. Les Lakers ont l'expérience de ces Finals puisque Magic est à la recherche de son sixième titre de champion. En finale de conférence, Los Angeles a crée la surprise en éliminant Portland qui n'est autre que la meilleure équipe de la saison.

    Après sept ans passés dans la league, Jordan n'a quant à lui décroché aucun trophée. Il a beaucoup souffert des trois éliminations consécutives face aux Pistons, mais il a décidé cette année de mettre toutes les chances de son côté. Opération réussie pour l’équipe du Zen Master puisqu’elle a largement dominé les phases finales ne perdant qu'un seul match de playoffs face aux Sixers.

    Les Bulls sont en finales et impatients d'en découdre. Ils présentent un superbe cinq tout à fait capable de rivaliser avec les Worthy, Divac, Scott, Perkins et Magic. Elles sont loin les critiques qui reprochaient à Chicago d'être la formation d'un "One Man Gun". Désormais, Chicago n’est plus l'équipe d'un seul joueur. Le danger peut venir de partout.

    La tension est à son comble. Les images sont superbes et les commentaires en français, alors régalez-vous !

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    En ce début d'année 1987, les Bulls accueillent au Chicago Stadium les Portland Trailblazers. A ce stade de la saison, l'équipe de Clyde "The Glide" Drexler présente l'un des meilleurs bilans de la league derrière les indétronables Detroit Pistons. Autant dire que la tâche s'annonce rude pour les audacieux Chicago Bulls.

    Vainqueurs 121 à 117, les Bulls créent une énorme surprise. Appelés à se faire broyer, ils ont vaincu l'adversité avec une aisance de maître. Cette victoire, l'équipe de Chicago la doit à son talent, bien entendu, mais également à son désir de conquète. Elle la doit aussi à sa détermination et à ses qualités athlétiques au-dessus de la moyenne.

    Mais elle le doit d'abord et avant tout à un homme : Michael Jordan. Le jeune homme n'a pas encore 24 ans et le monde à sa main. En 43 minutes de temps de jeu, le numéro 23 va réaliser l'impossible. Il marque 53 points à 59% de réussite. Il y ajoute 5 passes, 4 rebonds, 3 interceptions et 2 contres. Ce jeune joueur est un artiste, une grâce. Le monde entier est en train de découvrir une pépite qui risque bien de révolutionner le basket. James Naismith, son inventeur, est probablement déjà en train de se retourner dans sa tombe.

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    Après avoir passé 68 points à l’Angola et 33 points à la Croatie lors des deux premiers tours du tournoi olympique, la Dream Team affronte l’Allemagne de Detlef Schrempf. L’ailier des Indiana Pacers sait que la tâche sera ardue. Disposant d’un registre étendu lui permettant de batailler en dessous comme de tirer à trois points, l’allemand de la NBA sait que cette rencontre n’est ni plus ni moins qu’un remake de « Mission Impossible ».

    L’Allemagne a déjà participé aux JO. D’abord à Berlin et à Munich comme pays organisateur puis à Los Angeles grâce au boycott des Etats-Unis. C’est donc la première fois que l’équipe se qualifie sur le terrain. Certes Detlef Schremph à transcendé l’équipe. Certes Michael Jaeckel est un excellent gaucher possédant un sens inné du panier. Certes les Allemands sont supérieurement armés en dessous avec notamment Hansi Gnad qui le niveau d’un bon américain d’Europe. Mais pas sûr que tout ça soit suffisant à l'heure d'affronter l’armada US. En réalité, l’issue finale de cette rencontre est connue d’avance. La seule curiosité du match reste de voir comment le bientôt trentenaire Detlef Schrempf se comportera face à ses adversaires habituels de NBA.

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    Les Chicago Bulls se déplacent chez l’équipe aux 16 titres NBA, les Boston Celtics. Larry Bird n’est plus là et l’équipe au passé glorieux doit dorénavant trouver de nouvelles vedettes si elle veut espérer surnager dans le monde éphémère de la NBA.

    Les deux équipes ont engagé le sprint final pour se qualifier pour les playoffs et surtout bien figurer dans cette seconde partie de saison qui mène tout droit aux Finals. Au classement de la conférence Est, Chicago est en seconde position derrière New York. Après avoir connu un début de saison catastrophique, Boston revient se placer à la quatrième place de cette même conférence bien aidé par une série de 9 victoires consécutives en 10 matchs.

    Les blessures et la fatigue ont affaibli les Bulls même si Jordan réalise l’une des meilleures saisons de sa carrière avec une phénoménale moyenne de 32,8 points en un peu moins de 40 minutes par match. Pour contrer le pressing tout terrain pratiqué par les rouge et noir, Chris Ford a opté un jeu de contre-attaque performant complété des uns-contre-uns pratiqués par Xavier McDaniel qui score la bagatelle de 27 points dont 14 dans le seul premier quart temps.

    Les Dee Brown, Robert Parish, Reggie Lewis vont-ils réussir à tenir tête aux Bulls ? Xavier McDaniel et son trash talking suffiront-il à faire sortir Pippen de ses gonds ?

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    Pour leur seconde semaine d'existence, les jeunes Grizzlies affrontent les redoutables Chicago Bulls. Fougueux et convaincus de pouvoir emporter le gain du match, Jordan va leur réserver un traitement de choc.

    Avec l'innocence qui caractérise les jeunes premiers, Vancouver se lance corps et âme dans la bataille. Chicago est encore en rodage en ce début de saison et ne parvient pas à suivre le rythme imposé, si bien qu'à la mi-temps Vancouver possède deux petits points d'avance sur ses adversaires. Tout reste donc à faire pour les deux équipes.

    Au retour des vestiaires, Vancouver maintient la pression sur les triple champions en titre en s'appuyant notamment sur un exceptionnel Greg Anthony (27 pts, 7 passes à la fin du match). Bryant Reeves -sorte de croisement entre Kevin Duckworth, Oliver Miller et Stanley Roberts- assure quant à lui le minimum vital à l'intérieur (7 rbds). Les fans canadiens n'en croient pas leurs yeux : à la fin du troisième quart temps, leur équipe est toujours en tête.

    Déterminés à jouer leur va-tout, les Grizzlies tentent quelques shoots imprévisibles. Et cela va payer à l'image d'un insolent Greg Anthony, toujours lui, qui enchaîne les paniers (8 sur 13 dont 2 sur 2 à trois points). A six minutes de la fin du match, les Vancouver Grizziles mènent de 10 points. C'est ce moment que va choisir Jordan pour porter son équipe. Friand de challenges, His Airness va alors se décider à scorer (il n'a marqué que 19 points jusque là). De scoring il va en être question puisque le meilleur joueur de la league va montrer aux cadets de la NBA que derrière la légende il y a la réalité des faits. MJ étalle son arsenal offensif. Tout y passe : dunk, tirs en suspension, shoots à trois points. Il mène son équipe à bout de bras au point que pendant près de cinq minutes, il est le seul Bull à rentrer des paniers. Les Grizzlies, qui pendant près de trois quart temps ont cru détenir les clés du match, deviennent alors de simples spectateurs d'un match dont Jordan est dorénavant l'unique attraction.

    Au final, l'équipe coachée par Brian Winters est résignée. Jordan a remporté le match à lui seul, scorant 19 points en l'espace de six minutes. Vancouver peut être rassuré : un seul homme est capable d'un tel exploit. Ils en ont été victime ce soir et pourront maintenant se battre à armes égales avec les autres équipes de la league.

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    Cette soirée du mercredi 19 mai 1998 est celle retenue par David Stern pour remettre le trophée de MVP au meilleur joueur de la league. Avec un vote évidemment en sa faveur (MJ est placé 92 fois à la première place par les 116 journalistes votants), le numéro 23 des Bulls reçoit son cinquième titre de meilleur joueur de la saison régulière.

    En ce mercredi 19 mai est aussi programmé le match opposant Chicago à Indiana pour le game 2 des finales de conférence. Une défaite face aux Pacers aurait vite fait de gâcher la cérémonie de remise du trophée de MVP proposée en introduction de cette rencontre. Surtout, Chicago n'a pas l'intention de se faire surprendre par des Pacers en reconstruction et qui, à la surprise générale, n'avaient pas participé aux playoffs lors de la saison 1996-97.

    Finalement, Chicago remporte la rencontre sur un écart de 6 points (104 à 98), le même écart qui leur avait permis de s'imposer 2 jours plus tôt (85 à 79) en ouverture de ces Conference Finals. Au final, MJ rend une feuille de statistiques digne de son titre de MVP (41 points, 5 passes, 4 rebonds et 4 interceptions) et nous gratifie de quelques actions dont lui seul à le secret avec  notamment un superbe buzzer beater avant le coup de sifflet signifiant la mi-temps.

    A supposer que Jordan et les Bulls parviennent à tenir ce rythme, ils ne feraient alors qu'une bouchée des vénérables Pacers.

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    La meilleure équipe de la NBA, les Phoenix Suns, se déplace chez les doubles Champions en titre pour l’une des rencontres au sommet de la saison régulière.

    Dans la conférence West, Phoenix est très largement en tête avec 52 victoires. A l’Est, Chicago mène la danse avec 48 victoires. Autant dire que les deux équipes sont au coude à coude, même si le première rencontre entre les deux teams cette saison avait vu la victoire de Chicago sur le score de 128 à 111.

    A l’exception peut être de New York et Portland, l’équipe de Chicago n’a connu que très peu d’opposition dans la league ces deux dernières années. L’arrivée de Charles Barkley a totalement redistribué les cartes et le Suns sont devenus du jour au lendemain l’équipe à battre. Dans sa première saison à la tête de l’équipe, Paul Westphal dispose sans aucun doute d’un des effectifs les plus équilibré de la league. Dans la raquette, Charles Barkley possède un des registres offensifs et défensifs les plus complets de la NBA. Le secteur extérieur n’est pas oublié avec notamment Dan Majerlé et Danny Ainge qui assurent à eux deux une réussite à trois points proche des 40%.

    Cette rencontre est donc l’occasion pour les Bulls de se détester et de mesurer leur capacité à gagner un nouveau titre. Les playoffs démarrent dans un mois. Jordan et compagnie doivent à tout pris empêcher Phoenix d’égaliser un partout en saison régulière au risque de perdre l’ascendant psychologique déjà acquis.

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    Pour le tout premier match des NBA Finals 1997 et face au MVP controversé de la saison, Karl Malone, l'homme dont la statue trône désormais à l'entrée du United Center gifle Utah d'un shoot à la sirène.

    Bien qu'ayant mis sa main à la hauteur du visage de Jordan, Bryon Russel ne peut empêcher l'assassin de frapper. Chicago remporte la rencontre 84 à 82 et conserve l'avantage du terrain.

    Avec 32 points et 8 passes, MJ termine meilleur marqueur et deuxième meilleur passeur du match se plaçant dores et déjà comme favori au titre de MVP.

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    L’équipe de Portland version 1997-98 est très versatile mais tout à fait en mesure de créer la surprise face à Chicago. On se demande quel visage vont présenter les Blazers face aux Champions en titre puisqu'on les sait capable du meilleur comme du pire. Ils ont les talents pour battre les Bulls, ces mêmes talents qui parfois en arrivent à dérailler pour un rien.

    Cela dit, les joueurs du Rose Garden ont un un beau challenge à relever puisque Portland n’a plus battu Chicago depuis février 1995, soit pratiquement 3 ans jour pour jour.

    L’équipe de Portland s’appuie sur sa défense (7ème meilleure défense de la league), instituée par Mike Dunleavy qui aimerait bien redonner un peu de lustre à cette équipe présente en playoffs depuis 1982 mais qui, depuis 5 ans, se fait éliminer dès le premier tour. Pour atteindre cet objectif, les Blazers peuvent dorénavant compter sur Arvidas Sabonis en qui ils ont trouvé le pivot qui leur manquait depuis si longtemps.

    Les Isiah Rider, Arvidas Sabonis, Rasheed Wallace et Kenny Anderson parviendront-ils à tenir tête aux redoutables Chicago Bulls ? La réponse en image.

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    Ce match exhibition de l'été 1985 est à classer dans la catégorie des All-Star Game de part le caractère hyper spectaculaire de certaines séquences de jeu et parce qu'il n'a rien à envier à un All-Star Game NBA en terme d'effectif.

    Ce Push-Excel Pro Basketball Classic a élu domicile à Chicago dans l'antre du jeune Michael Jordan. Le match oppose une sélection de joueurs NBA (Isiah Thomas, Dominique Wilkins, Mark Aguire, Doc Rivers, Magic Johnson, Kevin Willis...) à de jeunes rookies (Michael Jordan, Tyrone Corbin, Cliff Levingston...).

    Cette rencontre offre un avant-goût de la bataille pour le titre de meilleur marqueur NBA que se livreront quelques années plus tard les deux plus spectaculaires joueurs de l'époque, Dominique Wilkins et Michael Jordan. Les deux superstars enchainent les paniers agrémentés de quelques envolées Jordanesque pour le rookie des Bulls (27 points) et de moulins avant pour le numéro 21 des Atlanta Hawks. Amateurs de highlights, régalez vous !

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    Emmené par un Jordan encore très assoiffé de victoires, Chicago mène 2 à 1 dans ces finales de conférence dont l'enjeu n'est rien d'autre qu'une qualification en Finale NBA. Les Pacers ont réalisé une superbe saison avec un bilan de 58 victoires pour seulement 24 défaites mais l'équipe est en fin de cycle. Le sort d'Indiana ne repose plus en effet que sur les épaules de Reggie Miller et Rick Smith ainsi que sur les éventuels coups d'éclat de Chris Mullin, Jalen Rose ou Mark Jackson. Autant dire que les bookmakers sont peu nombreux à miser sur une qualification des Pacers.

    Limité dans le secteur offensif, Indiana va en revenir aux fondamentaux en cadenassant tout particulièrement Scottie Pippen (12 points seulement). Intenable comme à l'habitude, Jordan score 28 points mais la performance reste insuffisante pour offrir la victoire à son équipe. A la surprise générale, l'équipe coachée par Larry Bird remporte le 4ème match de la série de deux petits points, 96 à 94.  La série est relancée. A deux partout, les fans d'Indianapolis se surprennent à espérer une possible qualification.

    A ceux qui s'attendraient à revivre à travers ce match un grand moment de joute basketballistique et verbale entre Michael Jordan et Reggie Miller, disons le tout de suite, vous pourriez être déçus. En effet, lors de ces playoffs 1998, Jordan et Miller ne sont plus les deux compétiteurs prêt à s'empoigner physiquement pour le gain du match comme ce fut le cas au début des années 90. Ils sont devenus beaucoup plus sages, même si j'en suis convaincu "la sagesse n'est rien d'autre qu'une fatigue de l'esprit liée à l'âge" (Gilbert Sinoué - Le livre de Saphir). Finalement, cette rencontre oppose des joueurs en fin de carrière que l'on pourrait presque qualifier de Gentlemen quand on sait ce dont ces deux là étaient capables à une certaine époque.

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    A la veille du premier tour des playoffs 1992, le Heat n'en mène pas large. Affronter les Champions en titre quand on vient de se qualifier pour les tous premiers playoffs de son histoire n'est pas chose à rassurer la jeune équipe de Miami.

    Les joueurs de Kevin Loughery ont bien raison de s'inquiter. Les Bulls vont leur prouver qu'entre la saison régulière et les playoffs, il existe un vide considérable que seules les équipes expérimentées sont capables de combler. Glen Rice, Steve Smith et Rony Seikaly s'attendent à tout sauf à jouer les spectateurs. Pourtant, dès l'entame du premier match les floridiens sont étouffés. Chicago ne leur laisse pas une seule minute de répit. Ecoeurés, les floridiens se résignent à très vite laisser filer le match. Ils s'inclienent finalement de 19 points, 94 à 113.

    Sans doute révigoré par son titre de MVP, MJ nous offre un superbe match. Si avec 46 points, 11 rebonds et 9 passes, il passe à deux doigts du triple double, il démontre de façon évidente qu'il faudra composer avec lui dans cette passionnante course au titre de Champion NBA.

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    Le sort que Chicago réserva à Washington en ce premier tour des playoffs 1997 tient en 5 lettres : S.W.E.E.P. Il ne faut en effet que 3 matchs aux Champions en titre pour venir à bout des malheureux Bullets. 

    Bien qu’ayant abordés les playoffs avec beaucoup de détermination, les joueurs de la Capitale jouent incontestablement un cran en dessous de leurs adversaires. Ils ont beau tout tenter, les Chris Webber, Juwan Howard, Rod Strickland ou George Muresan ne valent finalement pas grand chose face à l’effectif ultra compétitif des Bulls. 

    Après avoir perdu les deux premiers matchs à Chicago, Washington laisse filer la troisième rencontre d’un tout petit point seulement. Le public du Capital Center peut avoir quelques regrets. Pour leur retour en playoffs après 9 ans d’absence, Washington est passé à deux doigts d’une première victoire, qui plus est devant le champion en titre.
     

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