Après Cuba et le Canada, le Panama a l'immense honneur d'être la troisième équipe à croiser le fer avec l'invincible armada US. Difficile d'imaginer autre chose qu'une aimable partie de plaisir pour l'équipe américaine qui a dominé dans tous les secteurs du jeu ses deux premiers adversaires (victoires 136 à 57 face à Cuba et 105 à 61 face au Canada). Si l'équipe de Chuck Daly jouent dans l'esprit, l'addition risque en effet d'etre salée : 40 points? 50 points? Plus? En valeur pure, c'est le minimum garanti. D'autant plus que les seuls points forts de cette équipe de Panama (Rolando Frazer et Mario Galves, deux joueurs formés dans des universités US), risquent d'etre vite étouffés par la sur-puissance américaine.

Le tournoi préolympique de Portland ressemble plus à une promenade de santé qu'à une véritable compétition du côté américain et si personne ne se fait de mouron quant au résultat finale, quelques inquiétudes commencent à naitre quant au niveau réel des équipes européennes. Excepté quelques joueurs du vieux continent (Petrovic, Divac, Marciulonis, Schrempf, Volkov et Smits), bon nombre d'entre-eux parmi les observateurs se posent la question de la valeur réelle de ces équipes éuropéennes face au monstre "Dream Team"?

Réponse définitive à Barcelone, car le seul match livré entre temps à une équipe européenne, la France le 21 août, risque de fausser les comparaisons. Une bonne raison pour les USA de rester concentrer, même face à Panama.

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Vous avez envie de témoigner votre passion pour MJ ou de partager un stock de vieilles cassettes VHS ? Vous êtes passionné par les sneakers Jordan et êtes au fait de l'actualité de la marque ? Vous vous êtes fait remarquer pour vos qualités rédactionnelles ou la promptitude de vos prises de vue ? Vous avez tout simplement envie d'entretenir la légende du numéro 23 des Bulls ? Rien de plus simple. Rejoignez l'équipe de -Keep flying with Him- en nous contactant ici. A très bientôt !

La Air Jordan XIV est de retour depuis le 7 octobre dernier dans un tout nouveau coloris intitulé "Light Graphite/Midnight Navy-Black-White". Ce n'est que la seconde fois depuis sa création en 1999 que le quatorzième opus de la marque est réédité. La AJ XIV avait bien pointé son nez en 2008 mais la version 2011 sera exclusive de part le tryptique noir, blanc et graphite jamais vu auparavant.

Cette rétro conserve toutes les caractéristiques du modèle original en particulier son amorti Zoom Air et son cuire pleine fleur. Son profil, inspiré de la passion de Jordan pour les voitures, n'a pas changé d'un iota. La Air Jordan XIV rappelle la conception stylée de la Ferrari 550M dont MJ fut l'un des plus fervents admirateurs. Rappelons que nos confrères de Sole Collector l'ont désigné comme étant la chaussure la plus performante des 23 premières références de la marque.

Peut-on résumer la carrière du plus grand basketteur de tous les temps ? Difficilement ! Michael Jordan, ses six titres NBA et sa floppée de records, ne se laisse pas emprisonner facilement. Jordan est Jordan :  un mélange d’élégance plastique et de cruauté. Après près de quarante mois d'absence, il repart au combat. Le dernier, cette fois. Pas pour la gloire, pas pour l'argent. Juste pour l'amour du basket. Le fauve est lâché à nouveau. Ses adversaires se laisseront-ils prendre comme au temps de ses assauts de jeunesse ? Pas sûr, d'autant que le début de saison semble lui donner tord.

Avec 10 défaites pour 3 victoires lors des deux premiers mois de compétition, le retour de Jordan dans le championnat professionnel apparaît mal engager. Une réaction de Jordan et des Wizars s'impose avant que le come-back le plus célèbre de ce début début de 21ème siècle ne tourne au fiasco. Une victoire face aux Sixers ce soir tomberait à point nommé.

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1996 est l'année du cinquantenaire de la NBA. 1996 est aussi l'année des Bulls. Plus que toutes les autres. En 82 matchs de saison régulière, seules dix défaites sont enregistrées. Un record dans l'histoire de la ligue. Les Lakers '72, avec leur 69 succès, sont effacés des tablettes. Un exploit d'autant plus incroyable que Scottie Pippen a manqué 5 matchs et que Dennis Rodman douze. Heureusement, Jordan tient toujours la baraque. MVP de la saison, du All-Star Game et des playoffs, pour la huitième fois sacré meilleur marqueur du championnat, MJ est omniprésent et d'une motivation à toute épreuve. Au bout du parcours, les Bulls accrochent leur quatrième titre.

Rick Telander, journaliste sportif au Chicago Sun-Times, en a fait un livre. En 272 pages, il revient sur ce parcours intincelant et sur cette équipe exceptionnelle qui, un soir de 1996, a accédé au statut de plus grande équipe de tous les temps. Un véritable chef d'oeuvre qui ravivera beaucoup de bons souvenirs chez la plupart d'entre vous.

Pour plus de renseignements, me contacter à : francois_regis_noel@yahoo.com