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    “Some people want it to happen, some wish it would happen, others make it happen.”

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    -- Michael Jordan


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    Edition de Sports Illustrated du 23 décembre 1991. Michael Jordan est élu Sportif de l'Année par le célèbre magazine américain. A cette occasion, SI réserva à ses lecteurs une couverture tout à fait exceptionnelle puisque c'était la première fois qu'un magazine diffusé à grande échelle faisait apparaitre un hologramme en page de couverture. L'hologramme présente Michael Jordan en train de sourire. La couverture est neuve. Elle a été glissée dans une protection plastifiée pour la préserver des dommages du temps.

    A avoir pour tout fan de MJ. Je n'en ai malheureusement qu'un seul exemplaire, en plus de mon exemplaire personnel.

    Pour commander, écrivez-moi à : francois_regis_noel@yahoo.com


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    Game 5 des Finals, entre Chicago et Utah, à Salt Lake City. Tenus en respect, jusque-là, deux manches partout, les Bulls doutent, d’autant que Jordan est souffrant.

    La veille de la rencontre, pris de fièvre et de vomissements, il n’a quasiment pas dormi. Les médecins sont pessimistes sur ses chances de jouer. Il n’en a cure et part à l’assaut, avec le peu de forces physiques qui lui reste. Le mental fera la différence. A chaque temps mort, il s’effondre sur le banc. Mais n’abandonne pas. Au contraire. Au terme d’une leçon de courage, il mène son équipe à la victoire (90-88) en compilant 38 points, dont 14 dans le dernier quart, 7 rebonds, 5 passes et 3 interceptions en 44 minutes. Géant, Bill nous raconte de l’intérieur. « Dans le vestiaire, Michael n’en menait pas large. Il semblait vieux, ses yeux étaient à moitié fermés, il tremblait. Il paraissait plus mort qu’en vie. Je me suis dit trois ou quatre fois dans le match que c’était fini pour lui. A chaque temps mort, on pensait qu’il ne repartirait pas. Mais dès qu’il entendait à nouveau le coup de sifflet, il se levait et jouait comme si de rien n’était. Comme nous savions à quel point il était malade, nous étions abasourdis.

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    Après deux éliminations frustrantes au pied des Finals, subies face aux Bad Boys de Detroit, Chicago a finalement passé le cap. Un énorme soulagement pour MJ, dont on commence sérieusement à interroger la capacité à gagner un titre, malgré ses exceptionnels talents de scoreur.

    Pour leur première apparition sur la grande scène, les Bulls affrontent les Lakers, l’équipe symbole des années 1980. Magic vs Jordan. Une affiche de rêve. Favoris de la série, les Angelinos empochent le Game 1 au Stadium, avant de s’effondrer. La passation de pouvoir s’effectue à l’issue du game 5, au Forum. Un triomphe des Bulls, 108 à 101, marqué par les perfs des Jordanaires, Scottie Pippen (32 pts) et John Paxon (10 de ses 20 points dans le money time). « Désormais, on va peut-être cesser de dire que nous sommes l’équipe d’un seul joueur », s’exclame MJ, euphorique. Dans le vestiaire, où David Stern remet le trophée, c’est du délire, Champagne et cigare pour tout le monde ! Mais rapidement, Jordan se retire dans un coin, pour caresser son Graal. Entouré de son père James et de sa femme Juanita, il est submergé par l’émotion. Les larmes de la délivrance. A 28 ans, sept ans après son entrée dans la league, il est enfin champion.

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    De retour en finale, les Bulls défendent leur trophée face aux Blazers de Clyde « The Glide » Drexler, promu « rival numéro un » de Jordan par Sports Illustrated. Elu MVP pour la troisième fois de sa carrière, le numéro 23 est déterminé à asseoir sa suprématie. Et il le confirme dès le Game 1, au Stadium.

    Agressif vers le cercle et adroit dans le périmètre, il signe un premier quart de haute volée. Mais le meilleur reste à venir. Profitant des largesses de la défense des Blazers à la périphérie, il enquille un premier tir à trois-points, au nez de Danny Ainge. Puis un deuxième. La série est lancée. Après son cinquième tir primé de la mi-temps, réussi à 9 mètres, il détient déjà le nouveau record des Finals. On fire ! Sur un service de Paxon, il expédie un sixième missile, sur l’aile gauche. Touché par la grâce, le serial shooteur hausse les épaules, et tourne la paume de ses mains vers le ciel. Incroyable. Jusque-là, l’adresse longue distance n’a jamais été sa force (27,0% cette saison là). « Personne ne s’y attendait, mais j’ai saisi les opportunités et c’est rentré. J’ai réussi à me surprendre ce soir. » Il termine la première mi-temps avec 35 points, un autre record. A la pause, Portland est déjà hors course. La route du doublé est dégagée. 

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